L'énoncé est le suivant :
"On sait que la réponse à la vie, l'univers et le reste est 42. Hors on ne connait pas la question. Le problème est donc de connaître cette question. La question à la vie, l'univers et le reste revient donc à : Quelle est la question amenant à la réponse à la vie, l'univers et le reste, 42? Et la réponse est 42. On obtient donc que la question à la vie, l'univers et le reste est égale à la réponse du même nom, id est 42."
La question est 42, et la réponse aussi est 42... hmhm
Comme je n'ai pas encore bien défini le cadre de cette théorie pour l'instant, je ne vais pas me pronnoncer sur sa justesse pour le moment ;)
On peut donc s'interroger :
- Dans le cas (peu probable) ou la réponse estimée à la question à la vie, l'univers et le reste, à savoir 42, serait lieu d'une erreur de calcul, la question changerait également... La question dépend donc de la réponse. Cette théorie ne s'appuie-t-elle pas un peu trop sur cette réponse présupposée, en lieu et place de la vie, l'univers et le reste?
- La vie, l'univers et le reste pourraient-ils être résumés à "42"?
- Dans ce cas, d'autres questions sont alors possibles, au vu du lien clair entre la réponse et la vie, l'univers et le reste : la question est à nouveau liée à son contexte.
- Le concept de "contexte" est-il toujours valable pour une question dans l'absolu?
- Pour conclure, cette théorie ne serait-elle pas une solution triviale au problème?